Depuis la sortie de cette X99-SOC Force qui est une carte mère haut de gamme orientée overclocking, Gigabyte propose également la version « SOC Champion » dont les principales différences sont le nombre de DIMM qui est réduit de 8 à 4 ainsi que la présence de l’OC socket permettant un bien meilleur overclocking du cache (j’en reparlerai plus tard dans l’article). Mais aujourd’hui, le modèle qui nous intéresse est cette X99-SOC Force proposée par LDLC au prix de 472€ TTC.
On retrouve les couleurs habituels des cartes hauts de gamme de chez Gigabyte : l’orange et le noir, autant vous dire de suite que j’ai OverCleX, on est fan de ce choix ! Le PCB, au format E-ATX (305 x 264mm) est lui de couleur noir mat. Comme je l’ai signalé lors de l’introduction, cette carte est architecturée autour du chipset X99 et dispose d’un socket LGA2011-3. A l’heure actuelle, seul trois processeurs « grands publics » sont compatibles : le 5960X, le 5930K et le 5820K. Bien sur, intel dispose aussi d’une large gamme de Xeon.
Cette X99-SOC Force dispose de trois radiateurs en aluminium : le premier recouvre le chipset et les deux autres, reliés par un caloduc, l’étage d’alimentation. Pas d’extravagance de la part de Gigabyte, si ce n’est le nom de la marque et l’annotation « Ultra Durable ». L’espace autour du socket 2011-3 est très bien dégagé ce qui permettra une isolation assez aisée pour des tests sous froid. Pour alimenter votre CPU, Gigabyte a prévu un connecteur 24pins et un 8pins. L’étage d’alimentation dispose de 8 phases pour le processeur et de 4 phases pour les canaux mémoires. La carte ne dispose pas de « l’OC Socket » qui permet de monter plus haut la fréquence de l’Uncore et donc booster la plupart des benchs.
La carte dispose de 4 ports PCI-Express 16x 3.0 ce qui lui permet d’accueillir jusqu’à 4 cartes pour du 4Way-SLI ou CrossFireX. Ceux-ci fonctionneront de la manière suivante selon le nombre de carte utilisée : 16x, 16x/16x, 16x/16x/8x et 16x/8x/8x/8x.
Remontons un peu afin d’arriver à la zone qui m’intéresse le plus. On retrouve 8 emplacements pour la mémoire DDR4 en Quad channel, ce qui permet d’accueillir jusqu’à 8 barrettes mémoires pour un total de 64Go cadencé à 3000MHz, voir plus.
Voilà, nous y sommes, la partie du PCB qui contient un ensemble assez impressionnant d’éléments pour l’overclocking : l’OC-Buttons. Voyons en détails les différents boutons et leur fonction car même si cela ressemble à un poste de combat à première vue, une fois que vous connaissez l’utilité de chacun, cela devient un jeu d’enfant.
l’afficheur LCD qui sert de « Debug display » afin de connaitre le composant qui pose problème lors du boot de votre carte mère. Une fois dans l’OS, celui-ci indique par défaut 00.
la zone permettant de relever les tensions directement sur le PCB à l’aide d’adaptateur fournit dans le bundle et/ou de votre multimètre.
un bouton blanc reset afin de redémarrer votre PC.
le « Gigabyte Setting lock » qui permet de rebooter avec vos paramètres bios même après un Clear CMOS.
le « Direct to bios » permet d’arriver directement dans le bios lors du boot sans avoir besoin de presser la touche « Del ».
le « Clear Battery Button » a le même effet que si vous coupiez l’alimentation de votre carte mère.
le « Clear CMOS » qui efface vos paramètres bios et vous permet de redémarrer avec les paramètres par défaut.
un premier switch « Single bios Mode » vous permet de choisir le bios dont vous avez besoin.
le second switch « OC Trigger » vous fera booter avec le plus petit coefficient multiplicateur. Une fois dans votre OS, vous switcher et automatiquement, le coefficient multiplicateur repasse à celui déterminé dans le bios permettant ainsi un max screen de quelques secondes.
le bouton« Power » pour la mise sous tension.
les boutons « + » et « + » permettant d’augmenter ou de réduire le coefficient multiplicateur et/ou le BCLK. Ceux de gauche, le BCLC et ceux de droite le coefficient multiplicateur.
le « OC Gear BCLK Steppings » permet de modifier l’augmentation de la fréquence BCLK, soit par 0.1MHz soit par 1MHz.
le « OC Tag » permet de recharger un bios bien défini après un clear CMOS si celui-ci a été sauvegardé dans le profil Save to tag dans le bios.
le « OC Ignition » permet de mettre sous tension tous les périphériques mais sans démarrer votre processeur. Les ventilateurs se mettront en route, la pompe de votre circuit liquide (bien pratique pour le remplir), … Une très bonne initiative !
les quatre switch permettant de désactiver les ports PCI-express lorsque par exemple, vous désirez tester plusieurs cartes graphiques en même temps.
Enfin, on retrouve à l’arrière de la carte mère 3 autres boutons intéressants : un clear CMOS, un switch permettant d’opter pour le bios 1 ou le bios 2 et l’OC Button, pour un overclocking automatique. Je reviendrai sur celui-ci lors des tests.
Enfin, pour terminer ce tour du layout, sachez que la carte dispose aussi d’un port PS/2, de quatre ports USB 2.0, d’un port Q-Flash plus, de sept port USB 3.0, d’une entrée Intel GbE, d’une sortie optique et des sorties audios habituels. La carte son qui équipe cette X99-SOC Force est une puce Realtek ALC1150.
Au niveau du bundle, on retrouve un élément intéressant : l’OC Brace. Il n’est pas toujours évident de déplacer sa table de benchs et la seule solution est alors de poser sa carte mère à même la table ou sur la boite du constructeur. Ces deux solutions sont loin d’être stable et ce qui pose problème ce sont les cartes graphiques.
Grâce à l’OC Brace, qui surélève la carte mère tout en lui offrant une stabilité parfaite, plus aucun souci comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessus.
Test de la Gigabyte X99-SOC Force
Layout Gigabyte X99-SOC Force
Depuis la sortie de cette X99-SOC Force qui est une carte mère haut de gamme orientée overclocking, Gigabyte propose également la version « SOC Champion » dont les principales différences sont le nombre de DIMM qui est réduit de 8 à 4 ainsi que la présence de l’OC socket permettant un bien meilleur overclocking du cache (j’en reparlerai plus tard dans l’article).
Mais aujourd’hui, le modèle qui nous intéresse est cette X99-SOC Force proposée par LDLC au prix de 472€ TTC.
On retrouve les couleurs habituels des cartes hauts de gamme de chez Gigabyte : l’orange et le noir, autant vous dire de suite que j’ai OverCleX, on est fan de ce choix ! Le PCB, au format E-ATX (305 x 264mm) est lui de couleur noir mat.
Comme je l’ai signalé lors de l’introduction, cette carte est architecturée autour du chipset X99 et dispose d’un socket LGA2011-3.
A l’heure actuelle, seul trois processeurs « grands publics » sont compatibles : le 5960X, le 5930K et le 5820K. Bien sur, intel dispose aussi d’une large gamme de Xeon.
Cette X99-SOC Force dispose de trois radiateurs en aluminium : le premier recouvre le chipset et les deux autres, reliés par un caloduc, l’étage d’alimentation. Pas d’extravagance de la part de Gigabyte, si ce n’est le nom de la marque et l’annotation « Ultra Durable ».
L’espace autour du socket 2011-3 est très bien dégagé ce qui permettra une isolation assez aisée pour des tests sous froid. Pour alimenter votre CPU, Gigabyte a prévu un connecteur 24pins et un 8pins.
L’étage d’alimentation dispose de 8 phases pour le processeur et de 4 phases pour les canaux mémoires.
La carte ne dispose pas de « l’OC Socket » qui permet de monter plus haut la fréquence de l’Uncore et donc booster la plupart des benchs.
La carte dispose de 4 ports PCI-Express 16x 3.0 ce qui lui permet d’accueillir jusqu’à 4 cartes pour du 4Way-SLI ou CrossFireX.
Ceux-ci fonctionneront de la manière suivante selon le nombre de carte utilisée : 16x, 16x/16x, 16x/16x/8x et 16x/8x/8x/8x.
Remontons un peu afin d’arriver à la zone qui m’intéresse le plus.
On retrouve 8 emplacements pour la mémoire DDR4 en Quad channel, ce qui permet d’accueillir jusqu’à 8 barrettes mémoires pour un total de 64Go cadencé à 3000MHz, voir plus.
Voilà, nous y sommes, la partie du PCB qui contient un ensemble assez impressionnant d’éléments pour l’overclocking : l’OC-Buttons.
Voyons en détails les différents boutons et leur fonction car même si cela ressemble à un poste de combat à première vue, une fois que vous connaissez l’utilité de chacun, cela devient un jeu d’enfant.
Enfin, on retrouve à l’arrière de la carte mère 3 autres boutons intéressants : un clear CMOS, un switch permettant d’opter pour le bios 1 ou le bios 2 et l’OC Button, pour un overclocking automatique. Je reviendrai sur celui-ci lors des tests.
Enfin, pour terminer ce tour du layout, sachez que la carte dispose aussi d’un port PS/2, de quatre ports USB 2.0, d’un port Q-Flash plus, de sept port USB 3.0, d’une entrée Intel GbE, d’une sortie optique et des sorties audios habituels.
La carte son qui équipe cette X99-SOC Force est une puce Realtek ALC1150.
Au niveau du bundle, on retrouve un élément intéressant : l’OC Brace. Il n’est pas toujours évident de déplacer sa table de benchs et la seule solution est alors de poser sa carte mère à même la table ou sur la boite du constructeur. Ces deux solutions sont loin d’être stable et ce qui pose problème ce sont les cartes graphiques.
Grâce à l’OC Brace, qui surélève la carte mère tout en lui offrant une stabilité parfaite, plus aucun souci comme vous pouvez le voir sur les photos ci-dessus.
IntroductionLe bios