Asus GTX 1080 Ti STRIX OC : partie 1

Mais revenons tout de suite au modèle qui nous occupe aujourd’hui : l’Asus GTX 1080 Ti STRIX OC.
Elle fait partie du haut de gamme d’Asus et de la série Republic Of Gamers.
Elle dispose d’un imposant système de refroidissement composé de trois ventilateurs de 92 mm compatible avec la technologie 0 dB. L’idée est de faire fonctionner votre carte en mode passif et de n’activer les ventilateurs que lorsque le GPU atteint une certaine température.
Je reviendrai en détails sur cette technologie lors des tests mais elle a déjà fait ses preuves sur les générations précédentes.

En ce qui concerne les fréquences de la carte, elles sont de 1595 MHz pour le GPU avec un Boost à 1709 MHz et les 11 Go de DDR5 sur un bus de 384bits sont cadencés à 1389 MHz.
En comparaison, les fréquences d’une GTX 1080 Ti de référence sont de 1480 MHz pour le GPU et 1582 MHz pour le boost.
La carte dispose aussi de deux connecteurs 4-pin permettant de gérer par exemple les deux ventilateurs de votre boitier si votre GPU grimpe en température. Les paramètres peuvent être définis via le soft d’Asus GPU Tweak II.
Le troisième connecteur est là afin de brancher un élément compatible avec le système AURA.

L’imposant radiateur est traversé par pas moins de 6 Heatpipes afin d’évacuer la chaleur du GPU et bénéficie de la technologie DirectCU III. Les différents composants du PCB maison sont eux aussi bien au frais et l’étage d’alimentation est composé de 10 + 2 phases Super Alloy Power II.
Tant que nous en sommes à parler de l’étage d’alimentation, les Mosfet sont des « IOR » qui sont également utilisés par EVGA sur les versions KPE et par GALAX sur les versions Hall Of Fame.
Le contrôleur de tension est lui un UP9511P.

Comme je l’avais déjà fait pour l’Asus GTX 980 Ti, elle passera sous différents tests d’overclocking : aircooling, watercooling, DOD et LN2.
Le PCB de cette STRIX dispose d’emplacements permettant de connecter la 1080 Ti à l’OC Panel afin de pouvoir relever les tensions et les modifier à la volée.
Je reviens sur le système « Hotwire » en détails dans la seconde partie de cette article.

Tant que nous sommes penchés sur le PCB, on retrouve aussi sur la tranche principale ce qui aurait du être la possibilité de switcher d’un bios à l’autre, ce qui est toujours très intéressant surtout si on flashe la carte.
Asus a du finalement changé d’avis ou alors ce sera pour la version POSEIDON ?
On peut d’ailleurs voir qu’un seul bios est soudé sur le PCB.

A l’arrière, on retrouve une backplate avec le logo Asus « ROG » qui s’illumine et qui peut être contrôler via le soft AURA.
Au niveau des sorties vidéos, on a droit à 2 ports DVI, 2 ports HDMI et un port DVI.

On termine par une petite vidéo histoire de vous faire la faire découvrir.

IntroductionLa configuration utilisée